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Féminité, Sensualité et Sexualité chez Disney

Article 1/6 du Dossier de Février 2008 

FEMINITE, SENSUALITE, SEXUALITE CHEZ DISNEY

Loin de ravir de façon systématique tout le monde et tout le temps, les  »Disney » ont déjà et à plusieurs reprises fait scandale. clochette2.jpg

jessica.jpgDes associations décryptant les « images subliminales » aux copies sensuelles, voire sexuelles, tout y est passé.

Ce dossier à pour but de faire le tour du sujet, de la place de la femme dans la société Disney à la représentation des plus vilains travers… faisons le tour de la question.

Pour information, sachez que certaines images et certains textes, placés notamment à la fin de ce dossier, pourront vous paraître déplacés… restez vigilents !

Pour des raisons d’uniformité, ce dossier s’appuiera presqu’exclusivement sur les animations Disney.

Ce dossier s’articulera de la façon suivante :

arielle.jpg

1- L’héritage sexuel chez Disney

2- Etude de la place de la femme dans les films d’animation

3- Election de l’héroïne la plus sexy de l’animation Disney (Sondage et Top 3)

4- Héroïnes non Disney (mes petits coups de coeur… et les votres !)

5- Scandales chez Disney : Sexe et Images Subliminales

Embarasse Ce s’ra chaud !Embarasse

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Article 2/6 du Dossier de Février 2008  

HERITAGE SEXUEL CHEZ DISNEY 

Pour information, et par soucis d’honnêteté, je vous informe que ce texte ne vient pas de moi… L’auteur m’est inconnu puisqu’il a pris la parole au sein d’un forum pour expliquer d’où provient l’héritage sexuel chez Disney… Merci (et bravo) à cet illustre inconnu !  

conte.jpg

- Le premier héritage sexuel chez Disney vient des contes. En reprenant les contes anciens et leur symbolique sexuelle, les films disney se voient contraints de l’adapter, et donc de la refléchir. Dans les films de 1937 à 1959, la sexualité est souvent liée à l’idée de macabre : on range le tout dans le groupe des pulsion refoulées et inconscientes. Un film comme Cendrillon, avec ses passages « délimités » basculant dans l’expressionisme et l’abstrait (la première visite dans la chambre de la mère, l’humiliation du déshabillage, l’escalier final et l’enfermement) est un bon exemple de ce que Disney a pu faire de la sexualité au niveau le plus symbolique (et angoissé) du terme.

codehayes.jpg

- L’explicite, ensuite. Au départ, l’explicite vient des films hollywoodiens dans la mouvance duquel Disney s’inscrit : ça fonctionne, en gros, en fonction du Code Hayes, un code de censure qui poussaient les scénaristes à ruser, à détourner, à sous-entendre, à être inventifs. En a découlé l’explicitation sexuelle de la comédie américaine des années 40-50, quelque chose de très mutin, malin, « coquin » sans pourtant rien montrer. On le retrouve dans pas mal de films Disney des années 60, ça reste néanmoins court et limité aux méchantes (les 101 dalmatiens en est un exemple), méchantes qui utilisent la forme cartoon pour accentuer la sexualité des corps tout en les condamnant (ex : Cruella vamp donc possiblement sensuelle, mais tellement vamp qu’elle en devient squelettique et donc repoussante et grotesque). Dans les dernières années (90-2000), Disney va vers un explicite plus simple, plus direct, avec des clins d’oeil visant à appater l’ado.

bambi2.jpg

- Enfin, la sensualité, ou plutôt le chemin qui y mène. C’est un pari pour Disney, qui n’a d’ailleurs jamais vraiment renié la question (beaucoup des films Disney, de La Belle et le Clochard à La Petite Sirène, racontant l’émotion des premières fois et du « déflorage », même si c’est présenté plus poétiquement que ça). On remarque, au début des années 90, que la symbolique des contes à laissé place aux « rituels », quelques chose de plus tribal, de plus direct. Exemple : on enferme une vierge et une masse virile (sexuée, adulte) dans un grand château, et on les laisse se flairer et appréhender la séduction et leur sexualité tranquilles au milieu de ce grand terrain de jeu : ça donne La Belle et la bête. La sensualité en tant que telle passe par deux choses. Le jeu sur les éléments, déjà symboliquement (la nuit d’amour de Bambi, où la nature métaphorise la montée de plaisir) jusqu’à être franchement frontaux (l’omniprésence liquide, suante, visqueuse -les insectes-, bref tout cet environnement propice à l’apprentissage sexuel qui mène les personnages du Roi Lion a une scène somme toute assez osée). La deuxième chose est le travail sur les corps : on les « désecurise », on les fait saigner, on les cogne, on apprend à les concevoir comme de la chair. C’est le travail d’un film comme Taram et le Chaudront magique, par exemple.

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(…) On trouve des exemples dans quasiment tous les films, d’ailleurs jamais « cachés », simplement assagis et très esthétisés, ce qui les rend moins perceptibles.

 

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Article 3/5 du Dossier de Février 2008  

PLACE DE LA FEMME DANS LA SOCIETE DISNEY

Ce qui intérresse Disney pour réaliser ses films, c’est avant tout l’histoire amoureuse des héros : une fois celle-ci réglée, les personnages sont finis ; c’est aussi pour cela que les « suites » des grands Disney ont bien moins de succès : parents et enfants constituent l’un pour l’autre des boulets.  

Nous pouvons observer que le rôle maternel est particulièrement maltraité dans les films d’animation :

- Beaucoup de héros Disney sont orphelins.

- Si ce n’est pas le cas, leur mère est morte (Blanche-Neige, Cendrillon, Ariel, Belle, Jasmine, Pocahontas, Jane…) ou va mourir (Bambi, Rox) alors que leur père est toujours présent.

- Si cette mère a la chance de rester en vie et d’exercer sa fonction maternelle, elle sera fatalement séparée de son petit (Dumbo) ou rejetée des autres (Tarzan). Dans les autres cas, son rôle sera tout simplement minimisé et limité à de la figuration (la mère d’Aurore, celle d’Hercule ou bien encore de Mulan).

feebleue.jpgCas particulier gepetto.jpg:

Pinocchio, qui n’a pas de parents biologiques, mais deux parents symboliques : Gepetto, qui lui donne un corps et la Fée Bleue qui lui donne la vie.

Certaines figures maternelles persistent, mais ce cas de figure est rare et la situation catastrophique :

- Dans La Planète au Trésor, la monoparentalité est assurée par la mère :  Jim Hawkins est un délinquant 

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- L’autorité que Nani exerce sur sa sœur dans Lilo et Stitch est un fiasco total : la DASS est sur le point de retirer Lilo !

La femme, dans la société Disney n’est sublimée que dans son rôle d’amante ; et il est étrange de constater que le rôle de mère est une sorte de trahison souvent punie par la mort .

Deux héroïnes, cependant semblent sortir du lot :

indestructibles.jpg

- Chicha (la femme de Pacha dans Kuzco)

- Madame Indestructible (dans les Indestrucibles)

Toutes deux semblent, en effet, assumer de front le double rôle d’amante et de mère. Remarquons, au passage, que Chicha est la seule et unique héroïne Disney (si l’on veut bien omettre Darling, la maîtresse de Lady, qui ne joue qu’un rôle secondaire dans La Belle et le Clochard) à porter un enfant, soulevant presqu’imperceptiblement le voile sur la véritable finalité de l’amour… et brisant aussi au passage un grand mythe fondateur : les enfants ne naissent pas dans les choux !!!

duchesse.jpg

- Duchesse est également mère, ce qui ne l’empêche pas de vivre une ardente histoire avec Thomas O’ Malley, sous les yeux indiscrêts de ses enfants, dans Les Aristochats ; elle en est d’ailleurs à sa deuxième histoire d’amour, ce qui prouve que les temps évoluent peu à peu : On est tout de même assez loin de la prude Blanche-Neige !

- Pocahontas, elle aussi, est une héroïne moderne de ce point de vue : c’est également l’une des rares héroïnes à vivre une deuxième histoire d’amour.

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Article 4/5 du Dossier de Février 2008 

Top 10 des héroïnes Disney les plus sexy

Vous avez été nombreux à voter pour l’héroïne Disney la plus sexy !

Voici donc le top 10, accompagné du portrait des héroïnes…  

D'après vous, quelle héroîne Disney est la plus sexy ?

Voir les résultats

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jasmine.jpg Jasmine

De grands yeux très grands et un sourire généreux. Jasmine ouvre la veine des héroïnes orientales, exotiques ; derrière elle suivront Esméralda, Mulan, Pocahontas et bien d’autres. Loin du regard de l’occident sur l’Orient, Jasmine présente une tenue vestimentaire laissant voir son petit ventre sexy… et c’est déjà bien suffisant, à l’époque, pour faire exploser la sensualité de toute une génération.

jess.jpg Jessica Rabbit

Jessica incarne aujourd’hui encore le plus gros fantasme masculin que le monde de l’animation ai jamais connu. Notons également que Jessica est l’une des premières héroïnes rousses de l’animation. Un corps aux dimensions de rêve, des courbes particulièrement généreuses, de grands yeux de chatte, sa tenue vestimentaire très sexy laisse entrevoir ses cuisses. Jessica est également l’une des premières héroïnes à évoquer clairement la sexualité (Elle est prise en photo en train de faire « picoti-picota » !!!).

belle1.jpg Belle

La tête ailleurs et son petit air audacieux… La candeur de Belle, et, peut-être son caractère affirmé semblent vous ravir. Belle n’est pourtant pas la plus provocante des héroïnes Disney. Son élégance fait d’elle une héroïne « classique », son charisme et son intégrité font d’elle une femme à part entière qui séduit petits et grands.

esmeralda.jpg Esméralda

L’exotisme poussé à son paroxisme. Le Bossu de Notre Dame est le seul film Disney à montrer les ravages de la sexualité et du désir purement sexuel, à travers le personnage de Frollo. Esméralda est brune et son physique échappe enfin aux normes rigides de la féminité : elle exibe avec beaucoup de panache un physique plantureux, loin des modèles blonds très esthétisés de la première génération Disney. La danse, expression suprème du corps, est son arme secrête.

clochette1.jpg Clochette

Clochette n’a rien à voir avec ses contemporaines : Les cheveux en bataille, un style garçonne, elle revêt toujours une petite robe décolletée et très courte qui lui arrive au dessus des cuisses, laissant deviner une grande part de sa féminité naissante ! Son caractère est, lui aussi, atypique puisque, même si Clochette fait partie des « gentils », son caractère est en demi-teinte : vengeresse, jalouse et parfois méchante, elle n’hésite pas à trahir son camp. 

pocahontas.jpg Pocahontas

Pocahontas a été conçue pour être une héroïne dénuée de toute sensualité : un visage anguleux, des courbes presqu’imperceptibles (Pocahontas n’a pas de seins… ou si peu !), une regard très dur, masculinisé ; sa petite bouche rouge est la seule touche de sensualité de ce personnage, si l’on omet sa fâcheuse tendance à se présenter vêtue d’une courte robe qui laisse entrevoir ses jolies cuisses !

arielle.jpg Arielle

Encore une jolie rousse ! Arielle est l’une des rares héroïnes à exiber son joli ventre et ses jolies jambes en permanence. Un simple coquillage cache ses seins et la scène de sa sortie de l’eau fait encore frémir quelques adolescents…

megara.jpg Mégara

La jolie Mégara n’a pas su vous séduire… Sexy, oui ! De grands yeux de biche, un sourire plus qu’aguichant et un corps aux proportions dignes des plus grands tops modèles  : les formes de cette héroïne restent stéréotypées et trop « conformes » à l’imaginaire masculin.

blancheneige.jpg Blanche-Neige

Ce grand poncif de la féminité ne séduit plus… ou si peu. Blanche-Neige, au fil du temps, serait-elle passée de symbole absolu de la féminité, à la représentation de la féminité dans tout ce qu’elle a de plus ringard ?

 bianca.jpgLes Animales

Parce que l’animation d’une Animale (comme les appellent Christian Renaut) permet difficilement de faire passer la sensualité et le jeu de la séduction par la gestuelle, Disney a fait don de grands yeux expressifs surmontés de longs cils racoleurs à certaines héroïnes comme Lady (La Belle et le Clochard), Duchesse (Les Aristochats) ou Bianca, etc.

Certaines comme Peg (La Belle et le Clochard) ou Rita (Oliver et Compagnie) sont également affublées d’un cocard, ce qui leur donne l’image de filles de mauvais genre… ceci dit, elles ont un coeur gros comme ça !

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Article 5/5 du Dossier de Février 2008 

PÊLE-MÊLE ET JUSTE POUR LE PLAISIR  

ATTENTION ! Pour information, sachez que le contenu de cet article peut « heurter » la sensibilité des… plus sensibles !

Le fait est très connu, et pourtant si controversé : La rumeur voudrait que les dessinateurs Disney (une équipe principalement masculine) aient pris la mauvaise habitude de faire apparaître des images coquines (voire carrément pornos) dans certains films… De là à les accuser d’insérer des images subliminales dans les films d’animation qu’ils sont chargés de créer, il n’y a qu’un pas ! Pour le plaisir de tous, (re-) voyons quelques une des anecdotes coquines les plus connues liées aux films Disney !

Une fille au seins nus derrière Bernard et Bianca

biancasex.jpg 

En 1977, « Les Aventures de Bernard et Bianca » sort au cinéma, au rhytme de 24 images /seconde. A cette vitesse, impossible pour le commun des mortels d’apercevoir une femme nue à la fenêtre d’un immeuble le temps de 2 images, soit 1/12 de seconde (!)… surtout que la scène en question va très vite puisque nos 2 héros subissent un vol mouvementé avec ce cher Albatros. Ces images imperceptibles à l’oeil sont communèment appelées « images subliminales ».

C’est dans les années 90 que le scandale éclate ! En effet, les particuliers ont désormais la possibilité de voir et revoir leurs dessins-animés préférés à domicile grâce au magnétoscope. Pour peu que vous utilisiez la fonction image par image pour scruter le moindre détail présent sur la bande de votre VHS, vous tomberez nez-à-nez avec cette femme exhibitionniste qui expose son anatomie aux spectateurs !

Bien entendu, Disney a compris la leçon et a vite rappelé les quelques 3,4 millions de cassettes vidéos présentant le vice sur le marché et proposé une nouvelle version au public, allégée de cette image.

La Petite Sirène truffée de coquineries ??

ariel.jpgsirenephallus.jpg

L’affiche, tout d’abord, du film a fait fureur : D’aucuns affirment voir un phallus caché dans le dessin du royaume des mers. C’est vrai qu’à y regarder de près… On s’y tromperait !  

ariel2.jpgD’autres affirment que le curé qui célèbre les noces de Vanessa avec le Prince Eric exiberait une érection ; le curé semble, en effet, sur certaines images, avoir sorti son bazard. Il a, néanmoins, été démontré que le public voyait des obscénités partout et qu’il s’agissait en fait du genou du curé (ce qu’on voit très bien sur les plans suivants)…

 

Dis donc, Jessica…

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Celle-ci, je vous avouerais que je l’ai trouvée tout à fait par hasard et qu’à mon humble avis, elle ne provient pas directement des studios Disney… Quoique !  

SEX dans le ciel du Roi Lion

roilion.jpg

A la 53ème minute du film, lorsque Simba s’étale de tout son long, il laisse s’échapper de la poussière qui s’évapore dans le ciel, formant très distinctement le mot SEX ; la version officielle affirme qu’il s’agit de SFX…

Carrément porno ???

pinocchiosexe.jpgHormis l’affaire Bernard et Bianca, Disney a été obligé de retirer d’autres cassettes vidéos du commerce. Cela relève de l’anecdotique et manquera de précisions puisque les faits remontent à quelques années ; mais voici en gros l’incident.

Dans le milieu des années 90, un gigantesque stock de cassettes vidéos à caractère pornographique est réquisitonné à la douane car leur détention est illégale. A partir de là, Disney rachète la cargaison de VHS pour une bouchée de pain afin d’y dupliquer ces films detinés à la vente.

Toutefois, quelques problèmes vont pointer le bout de leur nez puisqu’un Disney dure moins longtemps qu’un film X. Au bout d’une heure et quart ou d’une heure et 20 minutes, le Disney est fini mais la cassette continue sa lecture faisant découvrir au spectateur un bonus quelque peu incongru : un quart d’heure d’ébats sexuels en live, autrement dit la fin du film pornographique initialement enregistré sur la VHS !!!

D’autres victimes avoueront même avoir constaté des « effets de transparence », ce qui ferait qu’il est possible d’apercevoir le film pornographique à certains moments du dessin-animé !!!

VOUS AVEZ D’AUTRES ANECDOTES COQUINES A NOUS FAIRE DECOUVRIR ?

N’HESITEZ PAS A NOUS EN FAIRE PART !!!

9 Réponses à “Féminité, Sensualité et Sexualité chez Disney”

  1. Emmy dit :

    Lors d’une étude en Philo, mon prof m’a fait remarquer que dans la Belle au Bois dormant lorsqu’Aurore se pique le bout du doigt sur le fusain ainsi que le sang qui coule, et bien cela représente la perforation de l’hymen donc de la virginité de la jeune fille lors d’un premier rapport.
    Voilà ma petite anecdote

  2. pitouwh dit :

    Y en a aussi qui associent ça aux premières règles, ça dépend des interprétations.

    Dernière publication sur The Geek Show : Critique ciné : Cry Macho

  3. marion dit :

    Je suis une internaute égarée, mais totalement rassurée!! Cela fait des années que je me fais des remarques sur le caractère sexué des dessins animés de notre enfance!! Et enfin cet article me confirme que je n’ai pas l’esprit « mal tourné » c’est une réalité!!!
    Merci beaucoup pour cet article complet et très intéressant!
    Marion

  4. jean-antonio dit :

    tro térible ce site on nèspère voire baucoup plus…..

  5. neha dit :

    Le conte de Blanche Neige est intéressant du point de vue de la place de la femme a l’epoque, car les contes de fees ont avant tout la tache d’eduquer moralement les enfants.
    Blanche Neige doit quitter le chateau a cause de la Belle Mere jalouse (complexe d’oedipe) et elle se retrouve avec 7 nains (de petites tailles mais agés= ni homme ni enfant = c’est le passage de l’adolescence pour Blanche Neige, les nains sont la transition ..) elle reste a la maison pour faire les taches menageres quand les nains rentrent du boulot que ce passe-t-il deja?
    Bref une femme au foyer comme il se doit pour l’epoque.
    voila juste pour l’analyse
    j’en ai d’autres en stock
    n’hesitez pas a me demander

  6. abiola dit :

    Je ne suis pas vraiment d’accord en ce qui concerne le physique de Pocahontas, elle a des formes voyons! Je pense d’ailleurs que ce personnage a plus l’allure d’une femme que d’une jeune fille comme Ariel, Belle ou même Jasmine, ces trois héroines tout comme Blanche Neige, Cendrillon et Aurore sont plutôt petites de taille, très menus et elles n’ont pas beaucoup de formes, elles ont un visage d’adolescente, d’ailleurs Ariel et Aurore ont 16 ans et en ce qui concerne les autres elles doivent avoir à peu près cet âge là. Ce n’est pas le cas de Pocahontas que je trouve élancée et pas du tout chétive, en plus elle a mon avis une poitrine bien prononcée ainsi que des formes généreuses, bref elle est une peu plus âgée et plus féminine. Sa façon de se tenir , ses mouvements, sa tenue illustrent également une certaine sensualité. Cependant contrairement à Jasmine par exemple Pocahontas n’utilse pas son corps pour plaire, elle n’est jamais dans une démarche de séduction, sa sensualité ne saute donc pas aux yeux, elle est plus subtile. Sa tenue d’ailleurs est simple et épouse tous ses mouvements, elle est en accord avec la nature. Quant à son regard, je ne le trouve pas vraiment dur mais troublant, c’est lors de la rencontre avec John Smith que l’on se rend compte, son regard désarme le jeune homme, il est subjugué ou impressionné.
    Je n’ai que ce petit désaccord, sinon je trouve le reste du dossier très interressant et il complète mes connaissances et mes opinions. Donc merci c’est une très bonne idée de se pencher sur ce sujet que je trouve à la fois inquitant ( à quoi pense certains dessinateurs!) et drôle.

  7. spinnaker dit :

    slt cool ton blog et je reviens .ciao
    fait un saut ché mw

  8. dream dit :

    On dit « les animaux » et non « les animales »…

  9. nelligan dit :

    Bonjour,

    intéressant, mais Disney n’a pas inventé grand chose d’un point de vue de la sexualité dans l’art.
    Voire, il n’a pas inventé grand chose d’un point de vue du fond de son œuvre.
    Il a inventé l’ART du dessin animé et il a choisi les histoires connues de tous afin de toucher le plus large public possible.
    Son fond artistique des années 20 à 80 est largement inspiré, pioché, volé des contes de fées européens de Perrault et les Grimm.

    Les autres films, des années 80 et 90 sont inspirés d’autres cultures (orientales, américaines) en plus de celle européenne.

    Lisez donc « Psychanalyse des contes de fées » de Bruno Bettelheim.

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