Article 5/5 du Dossier de Février 2008
ATTENTION ! Pour information, sachez que le contenu de cet article peut « heurter » la sensibilité des… plus sensibles !
Le fait est très connu, et pourtant si controversé : La rumeur voudrait que les dessinateurs Disney (une équipe principalement masculine) aient pris la mauvaise habitude de faire apparaître des images coquines (voire carrément pornos) dans certains films… De là à les accuser d’insérer des images subliminales dans les films d’animation qu’ils sont chargés de créer, il n’y a qu’un pas ! Pour le plaisir de tous, (re-) voyons quelques une des anecdotes coquines les plus connues liées aux films Disney !
Une fille au seins nus derrière Bernard et Bianca
En 1977, « Les Aventures de Bernard et Bianca » sort au cinéma, au rhytme de 24 images /seconde. A cette vitesse, impossible pour le commun des mortels d’apercevoir une femme nue à la fenêtre d’un immeuble le temps de 2 images, soit 1/12 de seconde (!)… surtout que la scène en question va très vite puisque nos 2 héros subissent un vol mouvementé avec ce cher Albatros. Ces images imperceptibles à l’oeil sont communèment appelées « images subliminales ».
C’est dans les années 90 que le scandale éclate ! En effet, les particuliers ont désormais la possibilité de voir et revoir leurs dessins-animés préférés à domicile grâce au magnétoscope. Pour peu que vous utilisiez la fonction image par image pour scruter le moindre détail présent sur la bande de votre VHS, vous tomberez nez-à-nez avec cette femme exhibitionniste qui expose son anatomie aux spectateurs !
Bien entendu, Disney a compris la leçon et a vite rappelé les quelques 3,4 millions de cassettes vidéos présentant le vice sur le marché et proposé une nouvelle version au public, allégée de cette image.
La Petite Sirène truffée de coquineries ??


L’affiche, tout d’abord, du film a fait fureur : D’aucuns affirment voir un phallus caché dans le dessin du royaume des mers. C’est vrai qu’à y regarder de près… On s’y tromperait !
D’autres affirment que le curé qui célèbre les noces de Vanessa avec le Prince Eric exiberait une érection ; le curé semble, en effet, sur certaines images, avoir sorti son bazard. Il a, néanmoins, été démontré que le public voyait des obscénités partout et qu’il s’agissait en fait du genou du curé (ce qu’on voit très bien sur les plans suivants)…
Dis donc, Jessica…

Celle-ci, je vous avouerais que je l’ai trouvée tout à fait par hasard et qu’à mon humble avis, elle ne provient pas directement des studios Disney… Quoique !
SEX dans le ciel du Roi Lion

A la 53ème minute du film, lorsque Simba s’étale de tout son long, il laisse s’échapper de la poussière qui s’évapore dans le ciel, formant très distinctement le mot SEX ; la version officielle affirme qu’il s’agit de SFX…
Carrément porno ???
Hormis l’affaire Bernard et Bianca, Disney a été obligé de retirer d’autres cassettes vidéos du commerce. Cela relève de l’anecdotique et manquera de précisions puisque les faits remontent à quelques années ; mais voici en gros l’incident.
Dans le milieu des années 90, un gigantesque stock de cassettes vidéos à caractère pornographique est réquisitonné à la douane car leur détention est illégale. A partir de là, Disney rachète la cargaison de VHS pour une bouchée de pain afin d’y dupliquer ces films detinés à la vente.
Toutefois, quelques problèmes vont pointer le bout de leur nez puisqu’un Disney dure moins longtemps qu’un film X. Au bout d’une heure et quart ou d’une heure et 20 minutes, le Disney est fini mais la cassette continue sa lecture faisant découvrir au spectateur un bonus quelque peu incongru : un quart d’heure d’ébats sexuels en live, autrement dit la fin du film pornographique initialement enregistré sur la VHS !!!
D’autres victimes avoueront même avoir constaté des « effets de transparence », ce qui ferait qu’il est possible d’apercevoir le film pornographique à certains moments du dessin-animé !!!
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